Questions fréquentes

 

1. Comment obtenir des corrections plus durables ?

Dans la plupart des procédures d’Adaptogenèse®, nous utilisons des points d’acupuncture pour équilibrer l’énergie, ainsi que des émotions spécifiques au déséquilibre identifié. Nous avons également très souvent recours à des corrections émotionnelles en profond. De plus, nous nous référons à des principes et des lois bien établis et validés par d’autres disciplines. Nous émettons des réserves sur une utilisation un peu trop « magique » du test musculaire comme seule source d’information pour résoudre la problématique d’une personne.

 

2. Donnez-nous des exemples de corrections durables

Dans certains courants kinésiologiques, on recommence encore et encore les mêmes équilibrations (os hyoïde, Gaits, énergie cloacale, tendance hiatale/valvule de Houston, switch, etc.). Tous ces déséquilibres peuvent être corrigés durablement, pour ne pas dire définitivement, via des techniques d’Adaptogenèse®.

 

3. Travaillez-vous comme les autres kinésiologies à partir d’un objectif ciblé ?

Oui bien sûr, mais ce n’est pas notre seule façon de travailler. Nous travaillons aussi à partir de modules de stress* et d’algorithmes**. Cette approche est particulièrement développée dans nos procédures « Travail sur soi » qui abordent des thématiques universelles qui intéressent tout le monde comme la responsabilité, le changement, la codépendance, les communications toxiques, les sabotages intérieurs, etc.

* Un « module de stress » est constitué de différents énoncés de stress autour d’une même thématique et appartenant à un registre énergétique identique.

** Algorithme : suite de procédures qui permettent de nettoyer complètement un problème en évitant les compensations ou les effets négatifs et qui réhabilite ou développe une compétence transposable et autoperpétuative.

 

4. Vous semblez dire que toutes les kinésiologies ne sont pas d’une totale innocuité. Pouvez-vous développer ?

Absolument. La plupart des courants connus nettoient le stress ou les déséquilibres sur un registre limité et forcément parcellaire. Cette approche est donc réductrice : au début, tout le monde tire un bénéfice de n’importe quel courant de kinésiologie mais, avec le temps, ce type de corrections devient une correction par défaut (ou, comme le dit le psychologue américain Abraham Maslow, « quand on n’a qu’un marteau, tous les problèmes se présentent comme un clou »).

Par ailleurs, certaines corrections kinésiologiques peuvent produire un déplacement ou une suppression. Le « déplacement » d’un déséquilibre signifie que celui-ci se compense ailleurs. La suppression, concept développé par le courant homéopathique, signifie que le « problème » est enfoui en profond. Il n’est plus détectable mais ressortira tôt ou tard, voire des années après, sous forme de maladie organique.

D’autres techniques kinésiologiques produisent un encapsulement (ou rétraction) du corps émotionnel, ce qui n’est pas anodin. D’autres encore ferment le champ de conscience.

C’est pour cela que l’Adaptogenèse® est particulièrement attentive à l’innocuité de toutes les techniques qu’elles développent.

 

5. Quelle différence faites-vous entre vision synthétique et syncrétisme ?

L’approche médicale organiciste ne nous a pas habitués à une vision du corps comme une unité fonctionnelle où tout est en interaction avec tout, où tout peut « détraquer » tout et tout peut corriger tout. Le tout est plus que la somme des parties. L’énergétique chinoise est une bonne culture de base pour comprendre ce phénomène. En Adaptogenèse®, nous gardons en permanence cette vision synthétique qui nous permet à chaque fois de remettre le déséquilibre dans une perspective globale et un fonctionnement unifié.

Lorsque des kinésiologues mélangent différentes pratiques appartenant à des courants différents, ils perdent en cohérence et ne réharmonisent pas forcément le système corps-esprit. Si vous avez la tête d’un chien, les pattes d’un éléphant, une queue de cochon et un corps de zèbre, vous créez un monstre. C’est parfois avec ce genre de chimères que travaillent certains praticiens. C’est le problème du syncrétisme qui a perdu la vision d’ensemble en faisant une juxtaposition de techniques, puisées ça et là mais qui ne concordent pas entre elles.